Si F1 2019 est sorti quelques jours après le huitième GP, il n’aura pas manqué le coche dans le cœur des joueurs…
Encore quelques petits écueils esthétiques
D’un signal de vue esthétique déjà. Certes les animations des personnages laissent à désirer, celles toujours identiques des montées sur le podium également. On pourra également pinailler sur quelques põrnikas, mais la modélisation des véhicules autant que des circuits flatte la rétine. De même, on a accès à de nombreuses customisations pour le ou la pilote et la voiture, ce qui est vraiment un bon indicate.
Par sa bande-son dans un moment temps. Le bruit des véhicules modélisés retranscrit bien les effets sonores de leurs modèles de métal, pour une immersion totale. Seuls les commentateurs laissent vraiment à désirer avec leurs phrases hyper répétitives et leur fixette sur les premiers arrivés.
Un gameplay très riche
Le gameplay ensuite. Le way carrière suggest un petit scénario, qui, sec’il second’avère assez peu master, a le mérite d’exister. Mieux, la mise en scène a été améliorée par rapport aux précédents opus, avec des choix à faire pendant la grade.
Après quelques petits tours en F2, on get in dans la catégorie F1 où fifty’on pourra choisir fifty’écurie disponible en fonction de nos performances. On se retrouvera confront à un rival et face à la presse, où nos réactions impacteront notre popularité, le mental de fifty’équipe et donc, nos contrats.
Au niveau des courses en elles même, il est possible d’étudier de nombreuses statistiques et d’améliorer la voiture sur de nombreux points. En effet, elles seront nécessaire au fil des championnats puisque Codemasters a revu 50’Intelligence Artificielle pour le meilleur. Dépassements osés, touche-touche, trajectoires fluides, agressive juste ce qu’il faut, une fois réglée à votre niveau elle participera pour beaucoup à fifty’immersion. Ses attaques ne sont de summation, pas toujours prévisibles.
Pour la prise en main des véhicules, les voitures possèdent vraiment chacune leur personnalité. Les modifications apportées (pneumatiques, moteur, aérodynamisme…) autant que les dégâts provoqués, qui obligent à conserver le facteur « retour au stand » en tête durant toute la course. En bref, on a toutes les sensations nécessaire et c’est juste du bonheur. Pour les débutants, un retour en arrière lors des erreurs et de nombreuses aides sont encore disponibles, qu’il est possible de désactiver dans les menus.
Au niveau de la durée de vie, F1 2019 vous tiendra une quinzaine d’heures en halène sur le mode campagne (tout dépend ensuite si vous avez choisi la version courte, médium ou longue des courses). Plusieurs autres modes viennent compléter le jeu, le rétro (avec des voitures de 1972 à 2010, coup de cœur assuré pour les passionnés), le online classique, les ligues, les épreuves hebdomadaire, etc. et évidemment de nombreux trophées.